25.09.10

par la fenêtre, la première qui qui sait seule compte où s’encadrent le jardin corseté barré de cassis-fleurs, ce que votre père avec pompe appelle verger, soit ces fruitiers dont on tire peu, poires pierreuses et de la cerise mi rognée puis taupe ou tabac des sillons, de fins sillons en flabelles sur quoi c’est la fermette apposée, son guingois, et molle et bise et cendre ; des brumailles :
par la fenêtre aujourd’hui face à vous c’en sont d’autres, mais vous n’aurez jamais eu dans l’œil qu’elle.

1 commentaire:

Anonyme a dit…

vous n'écrivez plus - comme j'aimais vous lire.